Messages mystiques

Le Christ sur la croix m’a dit

J’ai vécu une expérience vivante de l’Amour sublime du Christ-Sauveur

Je m’appelle Claudine. Moi, je ne suis rien ni personne, mais j’ai quelque chose à vous donner. J’ai vécu une expérience vivante de l’Amour sublime du Christ-Sauveur. Cet évènement a tellement empli mon cœur qu’il m’est impossible de le garder pour moi seule. Il est de mon devoir de le partager car je n’en ai été que la dépositaire. Prenez note qu’à cette époque mon éducation religieuse était plus que pauvre, et tout ce que j’ai découvert ce jour là était entièrement nouveau. Pour ceux qui n’ont pas encore lu mon profil         >> Présentation C. Haguet  ,            j’informe, entre autre, que je subis des attaques démoniaques depuis plusieurs années.

Cette expérience vivante de l’Amour de Christ s’incrit dans ce que décrit Saint Hildegarde de Bigen (1098-1179) dans le prologue de son livre Scivias : 

« (…) Les visions que j’aie vues  〈écrit-elle〉, ce n’est pas dans des songes, ni en dormant, ni dans le délire, ni par les yeux du corps ni par les oreilles de l’homme extérieur, ni dans des lieux cachés que je les ai reçues, mais c’est en étant éveillée, avec toute mon attention, avec les yeux et les oreilles de l’homme intérieur, en des lieux découverts, que, selon la volonté de Dieu, je les ai reçues. Comment cela se fait-il ? Il est difficile à un homme de chair de le découvrir. »

 

Luchon , le 24 Août 2016 : Journal inspiré dès le retour de la prière.

« Ce matin , comme tous les matins, je récitais mon chapelet dès le réveil, quand je fus prise de terribles crampes à l’estomac ; estomac qui se mit à gonfler du double. Cette épreuve très douloureuse m’arrive parfois et uniquement pendant la récitation du rosaire ! Je constate alors que  quelque chose se meut en moi, manifestant ainsi (entre autre) sa colère grandissante,… souvent à partir de la récitation de la 2 -ème dizaine de  ‘’ Je vous salue Marie ’’. La chose alors se déplace, le ventre se met à gronder, il secrète du gaz, il se met à gonfler et la douleur devient insupportable. Dans ce cas je n’interromps jamais l’oraison. Je la pousse bravement jusqu’ à son dénouement.            

Comme je persistais courageusement dans ma prière, suppliant le Seigneur de prendre pitié de son enfant qui l’aime en la dégageant de cette étreinte maligne, je me mis à cracher et à baver copieusement. Puis je finis par vomir. De ce fait, les douleurs graduellement prirent fin, les contractions s’effacèrent progressivement et mon ventre retrouva sa taille habituelle.

Par la suite en cure thermale, je n’eus de cesse de prier toute la matinée. L’expérience au préalable m’avait bouleversée. En fin de matinée les malaises revinrent. Cette fois-ci je fus prise d’oppressions qui se terminèrent par une partielle perte de conscience et une crise de convulsions accompagnée de râles et de grognements. Je fus conduite à l’infirmerie des thermes.

Désorientée et humiliée, je me refugiais dès mon retour de cure dans la belle église de Luchon pour m’abandonner dans la prière en présence de mes parents du Ciel : mes tendres protecteurs Jésus, la Sainte Trinité et Marie. J’invoquais leur bénédiction pour plusieurs personnes et surtout j’implorais leur soutien pour devenir bien meilleure afin de mériter leur présence dans mon corps et ma vie.  Je les suppliais  également de réaliser mes projets, dont celui qui me tient le plus à cœur : arriver à bien les servir.


. Toutes les photos de cet article (en tête incluse) sont © Cheminerversl’Essentiel – SAUF celles de Pixabay : la colombe de-Clker-Free-Vector-Images et la vague de Kanenori 

Nous voyons à gauche notre Seigneur, Jésus, révéler son Sacré-Cœur  à Sainte Marguerite-Marie. Photos prises Août 2016, à l’église de Luchon (France), à l’endroit où je priais.

J’étais à genoux au pied de l’autel de cette chapelle du Sacré-Cœur dans l’église (photo ci-dessous). Je ne comprenais pas cette représentation, mais le cœur amoureux de Dieu m’attirait comme un aimant.

Dans ma détresse et mon épuisement je m’abandonnais sans réserve, confiante, à sa Divine volonté et à ses bienfaits. Je m’offrais à celui qui lit dans les cœurs, et me remettais aux bons soins de sa Sainte Mère ; l’épouse de l’Esprit Saint.

Je réclamais intensément leur douceur afin d’en être imprégnée, tout en désirant qu’elle me pénètre de leur sagesse et prudence. Je souhaitais ainsi, par cette grâce, être rendue apte à offrir mon cœur à mes frères et sœurs qui y trouveraient de quoi étancher leur soif de sérénité.

Il m’est heureux d’épancher un cœur si tendre en abreuvant d’affection tous les appétits

De plus dans les sourires ineffables de Marie et Jésus représentés sur leur promontoire, je recherchais un je ne sais quoi, peut-être un clin d’œil. En tout cas je souhaitais un signe d’accueil affectueux, perceptible par moi seule. … Un acte de tendresse personnel pour m’encourager et me rassurer. Pas grand-chose en somme ! (ironie)

Quoi qu’il en soit, vu que sous l’emprise de cette prière continue je vivais un moment de délice, il ne me semblait plus aussi important qu’ils se manifestent sensiblement.

«  Mes parents du Ciel, merci pour ce moment, bien sûr, vous vous manifesterez comme vous voudrez, si vous le voulez et quand vous voudrez ! Le plus important demeure dans votre présence à mes cotés. »

Alors, surgit dans mon esprit, au sein de ma poitrine, une idée ! Disons-la, irrésistible, regorgeante, précise, irrévocable et vraie ! Une voix  me parlait sans être entendue par mon ouïe. Elle s’imposait forte et puissante par tous les éclats de son authenticité dans les profondeurs de mon entendement.

Notre Seigneur était présent, crucifié sur les hauteurs du Golgotha. Je le voyais sans le percevoir avec ma vue.


Et voici ce qui me fut dicté :

«  Aime beaucoup les autres,

et tu nous trouveras ! »

Cette inqualifiable résonance qui s’offrait à moi avait la saveur enchanteresse de l’Amour du Christ-Sauveur pour chacun de nous. Pour nous tous qui sommes à la fois ses créatures, ses enfants, ses amis mais aussi, ne l’oublions pas, ses bourreaux. De son côté percé jaillissait une manne d’Amour qui comme une vague déferlante se répandait sur le monde entier. Elle atteignait tous ses habitants que je voyais dressés, debout, devant lui. Cet Amour d’une puissance inouïe déferlait sans distinction sur ceux qui l’aimaient comme sur ceux qui le haïssaient et l’avaient sacrifié, torturé sans pitié.

Je saisis alors, que si la haine envahit, agresse, attaque, l’amour lui éteint les flammes de la haine à leur foyer –  à l’endroit exact  où la violence se déclare – comme une couverture enveloppante étouffe tout feu à son principe. Tout simplement en le privant d’oxygène. Cet Amour incommensurable , invincible, inexpugnable, insurmontable, et ceci malgré notre(nos) crime(s),   cet Amour ainsi conçu  responsable et à toute épreuve, ressentit par le Christ pour tous les hommes présents à son calvaire et à son sacrifice sur la croix, avait en ce moment toute l’ampleur de sa vigueur et de sa profondeur. Je ressentais qu’il m’en avait accordé une goutte saignante dans mon cœur d’indigne mortelle, si faillible et si fragile. Comme ceux que j’apercevais, j’étais présente devant la croix, à son sacrifice, et par ma prière je recevais moi-aussi la grâce de son Esprit.

Au sein de cet Amour saignant, omniprésent en son cœur, et par sa Sainte grâce gouté par le mien, présidait sa carnation singulière. J’en percevais, bien que partiellement, quelques sublimes émanations : son souffle et ses teintes, tout comme  sa saveur. L’inflexion de ses accents se racontaient à mon cœur qui emporté s’harmonisait aux différentes tonalités de ces impressions éblouissantes.

La sonorité de ce « beaucoup » était si intense, que rendue presque fiévreuse, elle avait une valeur de :          «     « «                                « Beaucoup, Beaucoup, Beaucoup, … »

Et ce chant, tel un écho sans limite, s’affirmait  accueillant et rassurant dans ma poitrine éprise.

Ce « aime beaucoup » se voulait accompagné d’une sensation d’amour intime pour tous mes frères et sœurs quels qu’ils soient et d’où ils viennent. Cet Amour insondable, dont on ne peut toucher ni  le fond   ni  la surface, embaumait mon cœur consommé  par une passion irréfrénable.  Mon cœur regorgeait d’une  joie mêlée à un  sentiment de profonde tendresse.  « On » semblait me dire :

« Regarde, vis, respire, l’abandon de ce démesuré besoin vital d’aimer tapissant toute haine. Demeure dans ce sentiment et vis ainsi, car dans cet immense Amour tu nous trouveras, et nous serons toujours pour toi, … en l’autre »

Je pris alors conscience que je devais arriver à trouver le Christ ici bas, avant de mourir, avant de passer de l’autre côté. En me recouvrant du manteau éclatant de ses vertus … qui me seconderont  pour arriver à le trouver, dans les autres !

« On », m’avait fait sentir quelque chose d’inconnu, de troublant, de vrai ; une réalité à laquelle je devais me mouler et que l’  » On  » savait par moi bien accueillie, avec tout le respect que je lui dois. Dans ce  « beaucoup »il n’y avait de place pour aucune réserve : s’était  TOUT, démesurément total. Jésus m’a indiqué, une fois de plus, le chemin qui mène à Lui.


Je me mis à prier :

Ô mon Père du Ciel !

Merci  pour  votre  présence.  Merci pour  votre  Divine Mère.  Merci  pour tous ceux qui me soutiennent, et qui me contrent aussi.

Merci  pour  toutes  ces présences,  pour ces  aides qui me heurtent et qui m’éprouvent,  me  conduisant  ainsi  à  un  surpassement  de mes  sens, de mes forces et de mon intelligence pour le Bien afin de convenablement grandir dans vos bras bénis : la source de tout Bien.

Ainsi soit-il !

→ Ce  « beaucoup »était infini, car :

→ Il multipliait sans limite l’évacuation des  « SANS » :  sans  méfiance, sans réserve, sans orgueil, sans crainte, sans intérêt, …

Il faisait battre mon cœur, au son rythmé de la puissance de ses « AVECS » : avec passion, avec ivresse, avec conviction, avec responsabilité, avec confiance, avec une insondable tendresse, avec une joie profonde, …, avec une constance inébranlable.

Et tous ces «SANS »  ajoutés à ces incalculables « AVECS » c’était, tout simplement, un imperturbable«      «« « « Beaucoup » dans le langage du Christ-Roi !

L’extase passée, il ne m’est resté qu’un germe de ce Beaucoup, mais ce germe est béni, et, j’en suis sûre, il est la route à suivre. Il est ce où doivent se concentrer toutes mes forces, mes intentions, ma volonté et mes prières.

Car ce « Beaucoup », c’est le plus beau de tout : il s’agit d’une larme de ce sang versé par l’Agneau immolé. Une goutte écarlate de sang du Christ répandu sur sa croix par Amour pour chacun d’entre-nous et tombée de son cœur dans le mien par la ferveur de ma prière.

Ce « Beaucoup », signifie toute la profondeur de cœur de notre Jésus-Sauveur, à la fois aimant et meurtri que je dois, que tous nous devons épouser.

Merci mon doux Père ! Amen !


→ Prions : 

Et je te rencontrerai, et je viendrai à ta rencontre. Je serai dans un face à face permanent avec Toi : le plus grand des bonheurs, des achèvements. 

Ô vivre ta présence vibrante à chaque instant ! Instants où plus rien d’autre n’a d’importance.

Tout peut arriver, tu vis en moi, là, en osmose avec mes intentions.

 

Il existe une disposition du coeur aux profondeurs de l’Amour… 

 

 

. . .  labandon total à Sa volonté. L’Amour Parfait, c’est Dieu, et Celui qui conduit à Dieu le Père, c’est Jésus, le Christ.

 >> Lire (suite de l’article) Soeur Marie Alacoque 


 

Au sujet de l’explication du vocabulaire

Difficile de partager avec des mots « un évènement » qui dépasse l’entendement humain. Mais comment le décrire ? L’homme n’est pas conçu pour vivre des relations avec le monde invisible. J’ai souhaité que vous partagiez cette rencontre avec moi afin que vous ressentiez toute l’importance de cette « expérience » extrasensorielle. J’ai déployé mon cœur et toute ma sincérité dans cette description qui m’a été inspirée juste après ma rencontre avec Le Crucifié. C’est pourquoi elle correspond au plus près à ce que j’ai vécu. Mon corps alors transpirait encore sa présence ; j’en étais imprégnée.  Si vous y prêtez attention, les phrases, les mots choisis ou inspirés feront écho avec votre intuition : votre expérience de vie, vos recherches, … Ils vous toucheront et vous transformeront. Aucune  parole n’est innocente : chacune d’elles est dotée d’une vie propre. Les mots possèdent une vibration particulière, ils ont un pouvoir et leur champ d’action sur le réel. Je les explique donc – il suffit de cliquer sur les mots en jaune. Merci pour votre lecture, et n’hésitez pas à nous communiquer vos impressions !

 

« Nos sentiments et nos émotions vibrent à une certaine fréquence.                                                       Ces fréquences affectent la structure de notre eau qui compose plus de 70% de notre corps.                   Nous ne sommes que de l’énergie vibrant à des fréquences différentes … »                                              >> À visionner :  5 – L’eau écoute les mots et la musique – YouTube 

 >> À Lire : Par où commencer

 

→ Partageons : Candidat à la chambre des députés de Belgique, Gustave de Molinari se prononce dans sa profession de foi de 1859 en faveur de la liberté des langues, dans ce pays où cohabitent wallons et flamands. Ce qu’il dit est également vrai pour l’appauvrissement de toute langue.

 

« Chaque peuple a son génie particulier comme chaque région a sa végétation, sa physionomie et son climat qui lui sont propres, et ce génie particulier d’une nation se manifeste par une langue qui lui appartient, langue plus ou moins riche, harmonieuse, sonore, colorée. Vouloir lui en imposer une autre, c’est méconnaître l’œuvre de la Providence ; c’est mutiler, affaiblir, abâtardir la pensée nationale en déformant l’instrument qu’elle s’est créé elle-même et qu’elle a perfectionné par le lent travail des siècles. Changer la langue, c’est appauvrir l’intelligence, c’est presque dénaturer l’âme.»


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Images : © cheminerverslessentiel.com sauf la derniere de pixabay libre de droit auteur maz-alph

 

 

 

 

8 réactions sur “Le Christ sur la croix m’a dit

  1. binance dit :

    Thanks for sharing. I read many of your blog posts, cool, your blog is very good.

    1. Cheminer vers l'essentiel dit :

      God bless you. Please share out articles at your social network. We are here to help and give hope. Kind regards

  2. Mendes Santos dit :

    Bonjour
    Je m’appelle Leonor
    Je vous crois parce que j’ai vécu même expérience et c’était en 2016 aussi, la phase qu’il m’a dit « pardonne et soit pardonner »

    1. Cheminer vers l'essentiel dit :

      Merci Leonore pour votre témoignage.

      Peut-etre serez-vous aussi interressée par ce message ( sur notre site ) : https://cheminerverslessentiel.com/messages-mystiques/omnibus-deus-est/
      Au sujet du pardon rendez-vous sur notre site à : https://cheminerverslessentiel.com/plaisir-de-comprendre/le-pardon
      et https://cheminerverslessentiel.com/plaisir-de-comprendre/lamour-etouffe-la-hainetemoignage-de-madame-catherine-s-lyon/

      Vous trouverez dans ces articles des clefs importantes pour libérer l’esprit de toute rancoeur.

      Notre association est jeune; alors n’hésitez pas à diffuser nos messages sur vos réseaux sociaux, à nous faire connaitre et à revenir vers nous. Nous pouvons également diffuser votre témoignage.
      Bien cordialement,

  3. Je rends grâce et Gloire à DIEU pour cette expérience merveilleuse QU’IL vous a accordée. QU’IL en soit abondamment béni et Son Saint NOM exalté…
    Soyez bénie pour le partage et continuellement visitée par notre SEIGNEUR JÉSUS….
    Souvenez-vous de moi dans vos prières Chère Claudine.
    Mylène Enanamond depuis le Cameroun

    1. Cheminer vers l'essentiel dit :

      Merci Mylene pour toute cette gentillesse

      Je vous conseille comme à Leonore de visiter notre site à https://cheminerverslessentiel.com/messages-mystiques/omnibus-deus-est/

      > Dans notre site il existe aussi des vidéos originales ( chanson – prières- homélie- etc ) : rendez-vous sur https://cheminerverslessentiel.com/nos-videos/

      N’hésitez pas à revenir vers nous et à diffuser nos articles sur vos réseaux sociaux. Dieu à besoin de notre aide à tous pour se faire mieux connaitre et aimer

      Peut-etre pouvez vous nous faire connaitre dans votre paroisse ?

      Bien cordialement

  4. Seignez/Beaurain dit :

    Bonjour Claudine,
    Votre témoignage pourrait rejoindre partiellement le mien… Merci ! Soyez Bénie !!!

    1. Cheminer vers l'essentiel dit :

      Merci Seignez
      Mais racontez-nous s’il vous plait ! Si vous le désirez nous pouvons publier votre témoignage dans la section https://cheminerverslessentiel.com/category/vos-temoignages/
      Vous y trouverez dejà l’experience d’Adeline.

      -Ce site est le votre, il est PARTAGE >
      Bien cordialement,

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