Messages mystiques

L’enfer existe ! Je me suis vue arriver sur ses rives !

Quand un songe est un avertissement ne vous en faites pas, vous le savez ; le corps sait faire la différence entre l’eau froide et l’eau bouillante, même s’il ne peut pas l’expliquer.

J’arrive en Enfer ! Songe du 2 juillet 2014 de Claudine. D. Haguet

 

 🙁  Première année de conversion ; je veux être libérée du démon, mais je ne désire pas changer toutes mes habitudes. Je ne comprends toujours pas que le péché m’a façonnée à sa guise, et encore moins pourquoi je devrais me priver de certaines choses. Texte écrit encore sous le choc, dès le réveil, en plein milieu de la nuit. Style haletant, hachuré ; comme la terreur vécue.

J’ai fait un rêve, disons plutôt un épouvantable cauchemar. Mes yeux sont dilatés d’effroi. Quand un songe est un avertissement ne vous en faites pas, vous le savez ; le corps sait faire la différence entre l’eau froide et l’eau bouillante, même s’il ne peut pas l’expliquer. L’appréciation se justifie par l’expérience. Et cette expérience impossible de la passer sous silence. Elle nous touche, chacun d’entre nous, dans sa chair unique, et nous concerne tous !

Voici donc ce songe vécu :

« On était plein de gens. Nous faisions partie d’un voyage organisé.
On nous faisait tous marcher dans des paysages magnifiques, dans une forêt dense et luxuriante comparable à celles que j’ai vues dans l’Australie tropicale. Nous étions très joyeux et plaisantions sans frein.
Nos guides étaient sarcastiques.👿
Regroupés en colonne, comme un troupeau, nous étions très, mais vraiment très nombreux. Nous formions un imposant cortège d’hommes et de femmes qui se suivaient en rigolant. L’ivresse de notre gaité, nous rendait fiers, et dans notre euphorie on ridiculisait tout ce qui se trouvait autour de nous. Nos bergers sarcastiques stimulaient cet orgueil et encourageaient la grossièreté de nos plaisanteries.

On était tous hilares !

 …  Et voici que nous arrivons à un pont de type suspendu.
Là, un des guides nous avertit :
« Ici, vous rentrez dans un royaume, un domaine différent. Il y a un nouveau jeu qui se prépare. »
Nous, on ne savait pas quoi !

Le groupe qui traverse le pont continue à se marrer et à railler… Nous avançons toujours !
À deux pas il y a cette énorme rivière, disons, … inquiétante.
Nous étions immergés dans un territoire de style disons  » indou  » (note : de style seulement, il ne s’agit pas de la religion), avec des statues étranges, une ambiance mystérieuse,  » indoue  » ?
Chaleur humide, moiteur tropicale collante ; l’atmosphère est très inconfortable. Malgré tout, on continue à avancer sans ralentir le pas en longeant la rivière. Les évènements deviennent alors plutôt difficiles à expliquer.

⊗ Une fois tous bien avancés plus avant, j’observe que nos guides goguenards montent d’un cran en effronterie. Ils nous répètent avec fermeté, leur autorité croissant avec notre dépendance, qu’un nouveau divertissement se prépare. 
En voici la règle : de la rivière va surgir une immense vague écœurante de boue poisseuse qui débordera pour s’agripper à nous et nous entrainer. Le ‘’ jeu ’’ consistera, dans ces conditions, à faire notre possible pour s’accrocher à tout ce que l’on pourra trouver afin de ne pas être complètement englués !
À ceci, nos guides hilares, sûrs d’eux et de leur pouvoir sur nous,  renchérissent effrontément : « Les participants du tour opérator précédent n’ont pas tous trouvé cela réjouissant. »

Étrange ! Personne ne s’inquiète,.. Et les gens avançaient et rigolaient toujours !

Railleurs, nos accompagnateurs nous montraient çà et là quelques endroits où les gens avaient pu s’agripper. Ça les amusait beaucoup, les guides.

Les meneurs étaient devenus très, mais vraiment très sarcastiques !
Personnellement, tout ce cirque commençait à m’inquiéter sérieusement. Je pris tout à coup conscience de l’urgence : je devais impérativement sortir de ma torpeur euphorique pour commencer à réfléchir et à calculer.

À mes côtés une dame de langue anglaise s’interrogeait pareillement. On s’associa pour réfléchir ensemble où nous pourrions nous accrocher. Elle et moi, choisissions des branches, des bouts de bois d’aspect solide. Tout en les manipulant nous nous disions qu’il suffirait peut-être de bien les enfoncer dans la terre pour réussir à nous cramponner pendant le déferlement de boue, à ces harpons de fortune.
Mais à voir la puissance du bouillonnement de la rivière derrière nous, et en considérant les prévisions que je commençais à me faire sur cette masse gluante  » élastiqueuse  » qui allait s’agglutiner, s’agglomérer à nous, toute nauséabonde, je me rendis bien compte qu’il ne s’agirait pas du tout d’un jeu … mais plutôt d’une réelle souffrance.

On se jouait de nous, nous étions trompés !

Désespérés on allait s’agripper de partout, les uns aux autres. Ce que nous allons vivre sera plus une horreur qu’un jeu. Or s’accrocher ne servirait à rien, car vite entrainés et engloutis dans on ne sait quoi de très violent, on sera dirigés vers on ne sait pas où.

Une autre jeune femme, vive et sportive, eu la meilleure réaction !
« Moi je rebrousse chemin jusqu’au pont ! » nous lança-t-elle, son visage soudainement illuminé.
« Il est peut-être trop tard, pensais je, le fleuve gronde ».
Elle n’attendit pas mon observation pour faire demi-tour et se mettre à bondir et à rebondir en s’éloignant.
On aurait cru voir cabrioler le Chat Botté chaussé de ses bottes de sept lieux qui en ricochant sur le sol parcourait le plus de distance possible.

Soudain, j’eus un éclair de lucidité ! « Elle est dans le vrai ! »

⊗  En un instant je compris-ressentis l’immense malaise que cet endroit sordide dégageait.
Je pris vivement conscience, je réalisais enfin, toute la fausseté qui m’y avait conduite. Me refusant d’être l’idiote qui reste pour se faire engluer, je me mis à détaler derrière elle.
Simultanément nous courions à une certaine distance l’une derrière l’autre, et à chaque rebondissement, à chacune de nos enjambées, nous parcourrions miraculeusement plusieurs kilomètres. Enfin, surtout elle !
Chacune de nos foulées étaient comme guidée et propulsée par une force surnaturelle qui tenait à nous faire franchir au plus vite le pont où la route de notre vie avait bifurqué, … vers notre perdition.
Il s’agissait de nous faire revenir au point où nous avions dévié pour finalement nous remettre sur la bonne voie et nous sauver. 
Ce qui nous sauvait ? L’éveil de notre conscience associé à un sincère regret d’avoir suivi de mauvais conseils, le remord de nous être engagé sur une route malsaine. Notre repentir, sincère, était conjugué de honte. Notre esprit s’ouvrait à un nouveau possible. L’Esprit de Dieu intervenait alors pour nous récupérer en nous donnant l’intelligence, la volonté et le courage d’employer toutes nos forces pour rebrousser chemin. En tout évidence, s’il avait été fort plaisant d’arriver en ce lieu, il était autrement plus difficile de le quitter !
Je voyais notre sportive aiguillonnée par l’urgence de la situation ; elle me semblait sauter à l’aise. On aurait cru voir s’élancer une gazelle poursuivie par un lion affamé ! Elle s’éloignait vraiment très vite. .
Je poursuivais ce nouveau guide que la providence m’envoyait, mais péniblement, …, toute essoufflée par l’effort surhumain que je déployais pour soutenir son rythme. L’idée de la perdre de vue m’effarait. J’étais affolée à la pensée de m’égarer, de ne pas être capable de retrouver le bon chemin … et surtout de ne pas pouvoir y arriver à temps… au pont où toutes nos vies avaient fâcheusement basculé.

Mes yeux s’ouvraient d’un coup. Je saisissais toute la fausseté de la situation et l’étendue de ma misère. Je me rendais compte qu’autour de moi l’absurdité atteignait son summum et que la tension montait : sur le fleuve bouillonnant, d’énormes embarcations chargées de boue gluante se rapprochaient. On les voyait de plus en plus nombreuses. Ces bateaux avaient des formes de monstres grotesques qui riaient. Cela me rappelle l’histoire de Pinocchio et des enfants désobéissants qui avaient préféré aller au pays du jeu pour se divertir plutôt que d’obéir à leurs parents et s’instruire à l’école. Ils ont finalement été transformés en ânes et réduits en esclavage par ceux qui avaient stimulé-favorisé en eux leurs mauvais penchants.

Ces formes étaient fangeuses. Leur couleur ? Je ne sais pas, peut-être avaient-elles l’apparence du mazout chaud, mais en bien plus répugnant ! Je pressentais une substance surnaturelle très nauséabonde à la consistance d’une masse malléable, en partie liquide et en partie visqueuse. Et ce ’’ je ne sais quoi  ’’ allait s’agripper à NOTRE PEAU pour nous entrainer ! Où ? Dans quel but ? Des formes immondes bourbeuses, semi-coulantes, se rapprochaient pour s’accrocher à nous.
Une rivière, ou plutôt un cloaque abject s’apprêtait à déferler sur nos chairs fragiles. Il s’agissait d’une marée immense qui allait nous engloutir en causant d’indescriptibles douleurs, … dont je ne concevais même pas la fin.

Là, tout près, j’observe grossir et monter les flots, avec ces embarcations surpeuplées de formes grotesques prêtent à exploser sur les rives où nous demeurons. Et au loin, je fixe cette fille qui s’éloigne en courant. Elle déguerpit si vite que sa silhouette semble vouloir s’effacer de mon regard, s’évanouir à tout moment. .
Haletante,… je tente de soutenir son rythme pour ne pas la perdre de vue …
⊗ ELLE EST MON SALUT ! Je m’empresse de la poursuivre comme une forcenée, et à contrecourant puisque les gens continuent à affluer le long du fleuve, toujours en rigolant, à sens inverse.

Pour me frayer un chemin, je repousse ces ignorants sans ménagement.
Je m’efforce de maintenir mes yeux sur elle ; je la perçois à grand peine !
Moi, dont le cœur percute à éclater la poitrine, j’essaye de maintenir ma course sans m’essouffler. Il me faut tenir jusqu’au bout ! C’est en rebroussant chemin, en bousculant çà et là, comme une enragée, que je me libère difficilement un passage au milieu de ce flot d’abrutis qui me tombent dessus …

Est-ce que j’arriverai à temps au pont où nos vies ont sombré ?                                                                                            Soudain une terrible angoisse.
La fille a disparu !
Le liquide pestilentiel commence à submerger mes pieds !
Les bateaux vont éclater ! …

… et les démons vont se jeter sur nous !
… sur moi ! »

→ Je me réveille : forte nausée – pression poitrine Ce n’était pas un rêve, je suis aux portes de l’enfer ! Je croyais savoir ce que signifie l’angoisse mais rien ne peut égaler celle qui émane de l’enfer ! J’en suis encore toute imprégnée ; et ce n’était qu’un avant-goût.


 Saint Paul apôtre aux Galates : 5 ; 16- 25 

« Je vous le dis : marchez sous la conduite de l’Esprit-Saint,
et vous ne risquerez pas de satisfaire les convoitises de la chair.
Car les tendances de la chair s’opposent à l’Esprit, et les tendances de l’Esprit s’opposent à la chair.
En effet, il y a là un affrontement qui vous empêche de faire tout ce que vous voudriez.
Mais si vous vous laissez conduire par l’Esprit, vous n’êtes pas soumis à la Loi.
On sait bien à quelles actions mène la chair : inconduite, impureté, débauche, idolâtrie, sorcellerie,
haines, rivalité, jalousie, emportements, intrigues, divisions, sectarisme, envie, beuveries, orgies
et autres choses du même genre. Je vous préviens, comme je l’ai déjà fait :
ceux qui commettent de telles actions ne recevront pas en héritage le royaume de Dieu.
Mais voici le fruit de l’Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur et
maîtrise de soi. En ces domaines, la Loi n’intervient pas.
Ceux qui sont au Christ Jésus ont crucifié en eux la chair, avec ses passions et ses convoitises.
Puisque l’Esprit nous fait vivre (>  à lire), marchons sous la conduite de l’Esprit. »


Explications du rêve sur l’enfer

Juste après le récit du rêve, la même nuit, j’écris dans mon journal :

J’ai vu les démons sarcastiques nous glisser patiemment vers l’enfer en nous amusant, en nous distrayant. Leur démarche était de nous séduire en manœuvrant nos désirs, en émoussant nos sens, en nous donnant un goût malsain pour les plaisirs et les solutions faciles. Les gens riaient en péchant. Ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient, ils ne comprenaient pas ce qui les attendait. Ils ne cherchaient pas à le savoir non plus !

On nous disait que tout n’était que jeu. Et nous le croyions. Les démons nous disaient que là où ils nous dirigeaient tout ne serait qu’une vaste partie de plaisir … puis lorsqu’ils ont commencé à nous parler de tourments les gens étaient devenus tellement anesthésiés qu’ils étaient incapables de réaliser leur perdition ! Incroyable, mais les personnes, confiantes en ceux qui flattaient leurs désirs, voulaient toujours rire et refusaient de s’interroger. Les gens continuaient à jouir de leurs divertissements et s’enfonçaient eux-mêmes dans leur malheur malgré le visible état d’urgence dans lequel ils se trouvaient.

Une dame a cru qu’elle pourrait lutter contre la violence de ce courant qui allait émerger ; elle présumait trop de ses forces et sous-estimait le danger. Elle s’est perdue.

Une autre a compris qu’il fallait vite retourner en arrière pour surtout éviter d’entrer en Enfer. Tout mettre en œuvre pour éviter l’Enfer était le plus sage à faire ; elle s’est sauvée !

Mon frère, ma sœur, Il faut changer de direction. Pour l’Amour de Dieu et de toi-même, fais demi-tour ! Refuse les affections désordonnées. Il est bon d’acquérir beaucoup de tendresse pour la personne du Christ ! Incline ton cœur dans ce doux nid d’amour où son Esprit de Sainteté est niché. Jésus, le seul bon berger, te dit : « Ne crains pas ! La parole que je veux que tu suives n’est pas au-dessus de tes forces puisqu’elle est déjà imprimée dans ton esprit et dans ton cœur. »

Vous tous mes amis : Écoutez la voix de l’Esprit Saint qui loge au fond de vous-même, et confiants, laissez-vous guider par Sa sagesse. Refaites tout le chemin en arrière tant qu’il en est encore temps. Courage ! Nagez à contre-courant d’un monde organisé pour vous perdre. Tout recommencer, pour un bonheur éternel et sans taches. Ainsi soit-il !

Dans mon rêve, la sportive a dû arriver à rebrousser chemin. Et moi, est-ce que je vais y arriver ? Ou, vais-je être engloutie ?


 La même nuit, … suite des révélations 

 

Il est 2 heures du matin : Je suis terrifiée à l’idée de me rendormir.

Mais qui êtes-vous Père François Dominique ! C’est terrifiant. Cet exorcisme ça prend des dimensions effrayantes.

2 heures trente du matin : Je suffoque. J’ai des douleurs aux poignets, aux chevilles et au genou droit. Je ressens une haine immense pour tous ceux qui m’ont fait tant souffrir dans ma vie. Je suis imprégnée de colère pour ce qu’ils m’ont fait. Dans mon for intérieur je leur ai pardonné, mais quelque chose en moi, malgré moi, me haït … et GRRRRRRRRONDE !

4 heures du matin : Comment arriver à me rendormir ? Un livre semble me tendre la main. Je lis du Père Alfredo Pallota, Un exorcista si confessa, édition SHALOM. Je traduis de l’italien.

 P.225 : « Le diable hait Marie et les hommes qui occuperons, pour toute l’éternité, les sièges que Dieu avait créés aussi pour lui et les anges rebelles. C’est pour cela qu’il recherche à nous trainer dans la perdition, dans les abysses. (Cf. Apocalypse 12 ;7-9). Saint Pierre nous met en garde : ’’ Soyez sobres, veillez. Votre partie adverse, le diable, comme un lion rugissant, rode, cherchant qui dévorer. ’’ Et voici sa recommandation : ‘’ Résistez-lui, fermes dans la foi, …’’ (1 Pierre 5, 8-9). »

→ P247 : « Dans l’enfer les damnés sont immergés dans une sorte de cloaque pour lequel il n’existe aucun mot capable de le définir ou de le décrire. »

→ P312 : « les gens viennent volontairement consulter l’exorciste ; parce qu’ils souffrent. Satan vide la personne. Ils se sentent vides, ils se sentent dans la souffrance et l’angoisse …  Ils en arrivent à croire qu’ils n’ont plus de foi. Même les bons, ils croient qu’ils n’ont plus de foi ; qu’il n’y a plus de prière qui vaille. Satan les vide même dans la prière. »

⦁  L’apôtre Paul écrivait aux Éphésiens chapitre 6 ; 11-13 : « Revêtez l’équipement de combat donné par Dieu, afin de pouvoir tenir contre les manœuvres du diable. Car nous ne luttons pas contre des êtres de sang et de chair, mais contre les Dominateurs de ce monde de ténèbres, les Principautés, les Souverainetés, les esprits du mal qui sont dans les régions célestes. Pour cela, prenez l’équipement de combat donné par Dieu ; ainsi, vous pourrez résister quand viendra le jour du malheur, et tout mettre en œuvre pour tenir bon. »

Il est 4 heures du matin : J’ai un terrible mal de tête ; des coups de marteau. Le démon n’apprécie pas mes lectures. J’arrive à me rendormir.

La vision de l’Enfer de L’écrivain Dante Alighieri (1265-1321) correspond à ma révélation !

>> À lire (suite) :  La vision de l’Enfer de L’écrivain Dante Alighieri (1265-1321) correspond à ma révélation !  

> À lire (suite) du 2 juillet 2014, La même nuit suite des révélations :  La destruction à venir 

 


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10 réactions sur “L’enfer existe ! Je me suis vue arriver sur ses rives !

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