Par où commencer ?

RÉFLEXIONS – D’où vient la force de la vie ?

I.  Au commencement de l’humanité 

 

« Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Or la terre était vide et vague, les ténèbres couvraient l’abîme et le souffle de Dieu agitait la surface des cieux. » Genèse 1 ; versets 1 et 2


II.  L’homme est poussière et retournera poussière, seules ses bonnes œuvres lui survivront et lui ouvriront la porte du Ciel 

→  Genèse 2 ; versets 6 et 7 :

« Toutefois, un flot montait de terre et arrosait toute la surface du sol. Alors Yahvé Dieu modela l’homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie (lire) et l’homme devint un être vivant. »

→  Genèse 3 ; verset 19 :

Dieu dit à Adam et Eve après qu’ils eurent trahi sa confiance : « À la sueur de ton visage tu mangeras ton pain, jusqu’à ce que tu retournes au sol, puisque tu en fus tiré. Car tu es glaise et tu retourneras à la glaise. »

→  Genèse 18 verset 27 :

« Abraham reprit : ‘’Je suis bien hardi de parler à mon Seigneur, moi qui suis poussière et cendre.’’ »

→  Ecclésiaste 3 ; versets 19-22 :

« (…) La supériorité de l’homme sur la bête est nulle, car tout est vanité. Tout s’en va vers un même lieu : tout vient de la poussière, tout s’en retourne à la poussière. Qui connait le souffle des fils d’Adam, qui monte, lui, vers le haut, et le souffle de la bête qui, descend, lui, vers le bas, vers la terre ? Je vois qu’il n’y a de bonheur pour l’homme qu’à se réjouir de ses œuvres, car c’est là sa part. (…) »

→  Ecclésiaste 12 ; verset 7 :

« et que la poussière retourne à la terre comme elle en est venue, et le souffle à Dieu qui l’a donné. »

→  Lire aussi : Job 4 : 19/ Job 34 ; 15 / Psaume 90 ; 3 / Psaume 104 ; 29 / Job 21 ; 26, …

                     


Dieu est l’Amour Parfait qui introduisit son Amour dans la glaise ; ce qui donna la vie à l’homme.        La vie est donc Amour. Le Tout-Puissant dans son infinie bonté, insuffla une parcelle son Esprit Divin dans nos corps d’argile composés de terre et de plus de 80% d’eau. L’eau de notre corps porte en elle la mémoire de Son Amour Divin. Travaillons pour notre bien à ne pas la dénaturer ; grandissons en vertus dans l’Amour.


2-ème épitre aux Corinthiens :

▪  Chapitre 3 verset 27 : « Car le Seigneur, c’est l’Esprit, et où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. »
Au Chapitre 4 ; verset 7 : « Mais ce trésor, nous le portons en des vases d’argile, pour que cet excès de puissance soit de Dieu et ne vienne pas de nous. »

Matthieu 13 ; 43 : « Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le Royaume de leur Père. Entende qui a des oreilles ! »


III.  Dieu est force et réconfort pour ceux qui l’aiment et le lui manifestent 

 

Premier épitre aux Corinthiens 8 :

Versets 1 à 5 : « (…) Mais la science enfle ; c’est la charité qui édifie. Si quelqu’un s’imagine connaître quelque chose, il ne connait pas encore comment il faut connaître ; mais si quelqu’un aime Dieu, celui-là est connu de lui. »

→  Isaïe 40 à lire en entier :

▪  Versets 6 à 8 : « Une voix dit : ‘’Crie’’, et je dis : ‘’ Que crierai-je ?’’ – ‘’Toute chair est de l’herbe et toute sa grâce est comme la fleur des champs. L’herbe se dessèche, la fleur se fane, quand le souffle de Yahvé passe sur elles : (oui le peuple c’est de l’herbe) l’herbe se dessèche, la fleur se fane, mais la parole de notre Dieu subsiste à jamais.’’ »

▪  Versets 21 à 23 : « (…) N’avez-vous pas compris la fondation de la terre ? Il trône au-dessus du cercle de la terre dont les habitants sont comme des sauterelles, il tend les cieux comme une toile, les déploie comme une tente où l’on habite. Il réduit à rien les princes, il fait les juges de la terre semblables au néant. »

▪  Verset 28 à 30 : « (…) Yahvé est un Dieu éternel, créateur des extrémités de la terre. Il ne se fatigue ni ne se lasse, insondable est son intelligence. Il donne la force à celui qui est fatigué, à celui qui est sans vigueur il prodigue le réconfort. Les adolescents se fatiguent et s’épuisent, les jeunes ne font que chanceler, mais ceux qui espèrent en Yahvé renouvellent leur force, ils déploient leurs ailes comme des aigles, ils courent sans s’épuiser, ils marchent sans se fatiguer. »

 


IV.  L’eau symbolise l’Esprit Saint et le salut que Dieu apporte au monde

Dans Saint Jean 4, Jésus demande de l’eau à une dame Samaritaine qui puise de l’eau
dans un puit. Conseil: à lire en entier :

  • Versets 13-14 : « Jésus lui répondit : ‘’ Quiconque boit de cette eau aura soif à nouveau ; mais qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif ; l’eau que je lui donnerai deviendra en lui source d’eau jaillissant  en vie éternelle.’’ »

Saint Jean 7, versets 37 à 39 :

  •  Jésus dit « (…) ‘’ Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et il boira, celui qui croit en moi ! ‘’ selon le mot de l’Ecriture. De son sein couleront des fleuves d’eau vive1. Il parlait de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui avaient cru en lui (…) »

Apocalypse 22 versets 1 et 2 :

  •  « Puis l’Ange me montra le fleuve de Vie, limpide comme du cristal, qui jaillissait du trône de Dieu et de l’Agneau. Au milieu de la place, de part et d’autre du fleuve, il y a des arbres de Vie qui fructifient douze fois, une fois chaque mois ; et leurs feuilles peuvent guérir les païens. »

 

V. L’eau est rendue féconde par l’action de Dieu 

À ce sujet  on peut visionner sur You tube, chaine KTO :

>> Le symbole de l’eau – YouTube


VI. Est-ce par l’eau que le Créateur de toute chose enclenche la vie et exprime sa puissance ?

 

Consulter : Le secret de l’eau, Jupiter films.com, à visionner sur You tube ou à acheter enversion complète sur leur site :   

>> Water, Le Pouvoir Secret de l’Eau // Extrait 20min Officiel (HD) – VF – YouTube

▪ « Dès la Genèse, le souffle de Dieu plane sur les eaux. …. Ce n’est pas hasard que l’eau est mentionnée dès les premières lignes de la bible. Dans la Genèse l’eau est irrémédiablement associée à la création de la vie avant toute chose. Comme toutes les sculptures qui étaient déjà présentes dans la boule d’argile, l’eau contenait les principes ou concepts de tous les futurs organismes vivants qui allaient apparaitre. Mais le démarrage de n’importe quel processus nécessite d’abord un processus de déclanchement. »

 

Jacques Collin :

« Nous sommes des êtres spirituels qui faisons une expérience physique et l’eau est là comme une sorte d’intermédiaire. Elle intercède en quelque sorte entre les magnificences= du monde spirituel et notre corps. Ce corps qui est en fait quelque chose qui est tout à fait provisoire et précaire (…) Notre vie n’est qu’une parenthèse. Sachons que pendant ces instants où nous vivons, ou nous expérimentons dans notre espace-temps, dans cette dimension universelle, et bien l’eau est là pour exprimer la puissance, le pouvoir de notre Créateur. (…) Notre eau – celle de notre corps, notre propriété personnelle et celle de notre planète – si elle est dénaturée, elle n’apporte pas la vie en nous et nous met sur des terrains de mort. »


VII. Felicité de Lamennais, Essais sur l’indifférence en matière de religion, Paul Daubrée et Cailleux éditeurs, 1836-37, Googlebook.fr  (gratuit)

L’homme sans sagesse : une extravagance

▪ P. 409 « Il n’existe de véritable société qu’entre les êtres intelligents : et c’est une des raisons pourquoi la société humaine se dissout quand l’homme, se matérialisant, ne met plus dans la société que son corps, son action et ses besoins physiques. Comprenons enfin que si le Créateur a établi un ordre plein de sagesse et de majesté dans la collection des êtres matériels, s’il les a soumis à des lois appropriées à leur nature, et d’où dépend leur conservation, il est absurde de penser qu’il n’existe aucun ordre voulu de Dieu dans la société des intelligences abandonnées sans règle et sans lois aux destins qu’elle se feraient elles-mêmes. Cela répugne aux plus simples lumières de la raison.

Tout ce qui est, est ordonné. L’existence simultanée de plusieurs êtres semblables enferme dans sa notion celle de certains rapports naturels entre ces êtres. Par conséquent l’idée d’ordre ; et de la vient qu’en détruisant l’ordre naturel entre les êtres, on détruit les être mêmes. »

L’homme chrétien vivant dans le bonheur qui lui est destiné connaît sa place

▪ P.261 « … Ainsi, tous aspirant au même bonheur, le même bonheur est offert à tous ; et, ce qu’on ne saurait assez remarquer, le bonheur, leur dernière fin, est aussi leur pre-mier devoir, puisque l’amour est le premier précepte, et que tous les autres découlent de celui-là.       L’homme dès-lors n’a rien à chercher : il connaît sa place dans l’ordre des êtres ;  il connaît Dieu, il se connaît lui-même, et trouve sans effort, dans la contemplation de la vérité immuable, la paix de l’intelligence et de l’Amour.  Instruit de ses devoirs comme de ses destinées, et tranquille sur le reste, il n’ignore rien de ce qu’il lui est nécessaire ou vraiment utile de savoir. De là un repos profond, un bien-être inexprimable, indépendant des sensations, et que rien ne saurait troubler, parce qu’il a à sa source dans le fond le plus intime de l’âme abandonnée sans réserve dans les mains du Grand Être, essentiellement bon et Tout-Puissant, qui se révèle et s’unit, par des voies ineffables, aux cœurs dociles à ses impressions. Éclairé d’une lumière nouvelle, et appréciant toutes choses à leur vrai prix, l’homme cesse d’être le jouet de ses passions. »


VIII . EN RÉSUMÉ

 

Nous devenons ce que l’on a créé. Ce que l’on a pensé et fait EST, donc EXISTE. Notre chair et notre corps sont empreints physiquement et spirituellement de ce que nous avons créé – fait-pensé-dit –

 

Ils accueillent en nous la Vie (à lire), L’Amour Parfait –Dieu et ses enseignements, … ou la rejette. La mort dont parle Dieu et les prophètes, et dont nous devons nous préserver, c’est celle de cette Énergie d’Amour qui est en nous et nous vient de Dieu à notre création. L’ énergie appelée âme est le principe immatériel, impalpable de la vie. Ce principe est éternel pour qui sait conserver son âme dans l’amour.
Il ne s’agit pas du corps terrestre, qui lui se décompose naturellement quand il n’est plus stimulé par l’énergie divine : poussière qui retourne à la poussière.
Notre carcasse, notre enveloppe d’argile, elle, a bien un moment de formation et un autre de destruction. .
Par contre le souffle du Créateur qui demeure en chacun d’entre-nous n’a ni début ni fin, et de plus, il nous est individuel.

Lire dans la bible Exode 4 ; versets 13-14 : « Dieu dit à Moise : ‘’ Je suis celui qui est, ’’ et il dit : ‘’ Voici ce que tu diras aux israélites : ‘’ Je suis ’’ m’a envoyé vers vous ’’. »

→  Saint Jean 14 ; versets 6-7 : « Jésus lui dit : ‘’ Moi je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père Sinon par moi. Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père (…) ’’ » Ici Jésus affirme qu’il est Dieu et fils de Dieu.

Jésus dit dans Saint Jean 10 ; verset 10 : « (…) Moi je suis venu pour qu’on ait la vie et qu’on l’ait surabondante »

→  lire Apocalypse 3 ; Versets 1 à 3 : « Tu passes pour vivant, mais tu es mort. Réveille-toi, ranime ce qui te reste de vie défaillante ! Non, je n’ai pas trouvé ta vie bien pleine aux yeux de mon Dieu. Allons ! Rappelle-toi comment tu accueillis la parole ; garde-la (…) »


>> À lire l’article précédent : Par où commencer ?

>> À lire la suite : À toi de jouer ! ( en bas de page de l’article)  


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