Plaisir de comprendre

La vertu élève à la perfection Divine

« Il est accordé à l’homme de s’élever par la vertu à la perfection divine. Il y a dans la créature un reflet du Créateur qui se révèle   »

Maria Valtorta  (1897-1961) a eu la vision de la vie de Jésus Christ. Pour plus d’information sur ses précieuses révélations reconnues par l’église catholique, consulter le site internet suivant.

. Lire en entier sur  :

        https://valtorta.fr/troisieme -année- vie-publique –de-Jesus/ une -mission-confiée -aux -païens html


Dans ce passage du livre Jésus écoute ce discours.

– J’ai dit que… Je me répétais des paroles que j’avais entendues de mon maître d’enseignement (Hermogene) quand j’étais jeune :                                                         .

« Il est accordé à l’homme de s’élever par la vertu à la perfection divine. Il y a dans la créature un reflet du Créateur, qui se révèle d’autant mieux qu’elle se perfectionne dans la vertu ; c’est comme si elle brûlait la matière au feu  de la vertu. Et il est accordé à l’homme de connaître l’Etre qui, au moins une fois dans la vie d’un homme, se montre à la créature avec une affection sévère ou paternelle, pour qu’elle puisse dire : ‘’ Je dois être bon. Pauvre de moi si je ne le suis pas ! Parce qu’une Puissance immense a brillé devant moi pour me faire comprendre que la vertu est un devoir et qu’elle est signe de la noble nature de l’homme.’’ Vous trouverez cet éclair de la Divinité tantôt dans la beauté de la nature, tantôt dans la parole d’un mourant, dans le regard d’un malheureux qui vous scrute et vous juge, ou encore dans le silence de la personne aimée qui réprouve à part soi une action déshonorante ; vous le trouverez dans la frayeur d’un enfant devant l’un de vos actes de violence, ou dans le silence des nuits quand vous êtes seuls avec vous-mêmes et que, dans la pièce la plus close et la plus isolée, vous percevrez un autre moi, bien plus puissant que le vôtre, qui vous parle avec des mots ineffables. Et ce sera Dieu, ce Dieu qui doit exister, Dieu que la Création adore même sans en avoir conscience, ce Dieu unique qui satisfait vraiment le sentiment des hommes vertueux, eux qui ne se sentent pas satisfaits ni consolés par  nos cérémonies et nos doctrines, ni devant les autels complètement vides, bien qu’une statue les surmonte. (…) »

Je connais bien ces paroles, car depuis de nombreux lustres, je les répète comme ma loi  et mon espérance. J’ai vécu, travaillé, et aussi souffert et pleuré. Mais j’ai tout supporté et j’espère, avec vertu, rencontrer avant de mourir ce Dieu dont Hermogène m’avait promis que j’allais le connaître. Je me disais à l’instant que je l’ai vraiment vu. Et j’ai entendu sa parole, mais pas comme un éclair ou comme un son sans écho. Mais c’est sous une sereine et très belle forme d’homme que m’est apparu le Divin ; je l’ai entendu, et je suis rempli d’un étonnement sacré. L’âme, cette réalité que les hommes véritables admettent, mon âme t’accueille, ô Perfection, et elle te dit : “ Enseigne-moi ton chemin, ta vie et ta vérité pour qu’un jour moi, qui suis un homme solitaire, je m’unisse à toi, qui es la suprême Beauté. »


. Image :  Pixabay – bhpsundra624 

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